À quoi s’attendait-on exactement lorsque Marc Bergevin a pris place derrière le lutrin mercredi ?
Qu’il désavoue publiquement ses joueurs après neuf matchs ? Qu’il dise : « il va falloir que Max Pacioretty se mette à marquer des buts et que Carey Price se mette à arrêter les rondelles » ? Qu’il renie aussi vite les gestes qu’il a posés en croyant améliorer son équipe ?
Tous ceux qui attendaient un quelconque acte de contrition ont dû être déçus, mais le fait est qu’il reste beaucoup trop de hockey à jouer pour que Bergevin se lance dans un tel exercice.